La France compte à elle toute seule une vente de 100 millions de smartphones en l’espace de dix ans. L’intelligence des portables est réclamée par les utilisateurs actuellement. Cet aspect est considéré par les constructeurs mais le côté écologique n’a pas été toutefois bien étudié. L’impact environnemental reste une préoccupation pour tous, sans compter la publication d’un rapport à ce sujet. L’Ademe et la France nature environnement l’ont en effet sorti en même temps que l’annonce des produits encore plus High-tech. Force est de constater que le lien entre les deux mondes conduit toujours à des mésententes à tous les niveaux.
L’effet des métaux rares
La conception d’un smartphone influe énormément dans l’impact environnemental. Les conséquences sur tous les plans sont attendues vu qu’un smartphone exige au moins une cinquantaine de métaux en tous genres. L’exploitation des minerais fait parler d’elle-même dans les quatre coins du monde. L’exemple le plus flagrant reste sûrement l’information lâchée par l’Unicef. Cette organisation œuvrant dans la protection de l’enfant annonce que dans la République Démocratique du Congo compte environ 40 000 enfants travaillant dans les mines. Travail qui mène à la fabrication des batteries ou même des condensateurs des smartphones.
Le tour du monde d’un smartphone
Des propos toujours fondés sur le rapport indiquent que 88% des consommateurs se ruent dans l’échange. Plusieurs raisons techniques guident les utilisateurs à cette étape. Hormis le souci de rechange, le recyclage n’est pas un geste facilement adapté par les consommateurs. Le rapport a annoncé même pas moins de 30 millions de téléphones portables non exploités et qui sont dispersés dans les foyers. Le reconditionnement et le recyclage sont pourtant des choix efficaces dans l’histoire. Bien que les critiques soient nombreuses dans le rapport on trouve tout de même de bons conseils.